Page d'accueil ÉCOUTE la TERRE

Conspiration ou Réalité ?
Analyses inédites

Les épandages aériens (chemtrails) :
un phénomène fréquent mais peu connu

Une simple observation visuelle, par beau temps, permet de voir que les trainées blanches laissées par les avions, dans le ciel, sont de deux types :

  • Les unes sont étroites, courtes et éphémères. Elles disparaissent en quelques secondes ou quelques dizaines de secondes au maximum, selon le degré d'hygrométrie de l'air. Elles sont le résultat naturel du processus de combustion à l'arrière des réacteurs, la vapeur d'eau émise se condensant immédiatement en raison des températures négatives qui règnent aux altitudes où évoluent les avions. Ce sont des trainées de condensation (contrails en anglais).
  • Mais on observe aussi souvent des trainées qui persistent longuement dans le ciel, jusqu'à plusieurs heures, en s'élargissant et en se déformant. Ces trainées ont commencé à apparaitre dans le ciel des pays occidentaux dans les années 1990 et peuvent être très souvent observées de nos jours. On les appelle chemtrails (contraction de trainées chimiques en anglais). Nous allons voir la raison de cette dénomination.

La différence entre ces deux types de trainées est illustrée de façon flagrante sur la photographie ci-dessous, où l'on voit des trainées d'avions de longueurs et largeurs très différentes. On pourrait imaginer que l'avion du milieu produise une trainée qui apparait plus grosse simplement parce qu'il évolue à plus basse altitude, et que sa longueur soit causée par une plus grande hygrométrie de l'air à cette altitude, mais aucun des avions n'est perceptible sur cette photo, ce qui signifie qu'ils évoluent tous les trois à haute altitude. Il y a bien deux phénomènes différents..

Pourtant, les communiqués officiels diffusés par les compagnies aériennes et les pouvoirs publics, quand ils sont questionnés à ce sujet, nient la réalité des chemtrails et les assimilent aux trainées de condensation, les différences d'apparence étant liées, d'après eux, à des différences d'hygrométrie. Si bien que la majorité des gens ne sont pas conscients de leur différence. C'est pourquoi nous allons développer un peu le sujet dans cet article pour mieux le faire connaitre et, si possible, en dévoiler quelques secrets.

Les aînés parmi nous peuvent se souvenir que ces longues trainées persistantes n'existaient pas avant les années 1990. Effectivement les avions à hélices ne génèrent pas de trainées dans leur sillage, seuls les avions à réaction en produisent. Mais ceux-ci existaient bien avant les années 1990. Rappelons que le fameux avion Boeing 707 (premier avion de ligne à réaction, construit en grande série) a été mis en service en 1958, et que son usage s'est répandu dans les années 1960. Or c'est depuis les années 2000 que ces longues et larges trainées tenaces se sont multipliées dans le ciel.

Comparaison entre deux trainées de condensation et une chemtrail

Il est donc inexact de prétendre que les longues et larges trainées persistantes sont simplement créées par une plus grande humidité de l'air. La logique implique qu'elles sont d'une autre nature. Elles sont créées par un processus différent de la simple condensation de vapeur d'eau.

Il existe bien deux types de trainées,
de natures différentes

Pour le confirmer, le raisonnement suivant fait suite à une observation personnelle. J'étais en montagne au sud de Pau, à l'aplomb d'un couloir aérien où des avions de ligne se dirigeaient vers le Sud, vers l'Espagne. Leurs trajectoires étaient en effet bien parallèles. Le temps était beau, le ciel uniformément bleu et l'atmosphère calme (pas de vent sensible, un léger vent sur les crêtes). La grande majorité des avions produisaient des trainées de faible densité, courtes et éphémères, attribuées à la condensation de vapeur d'eau. Elles étaient fines, duraient quelques secondes, et leurs longueurs étaient inférieures au kilomètre (évaluation faite sur la base des dimensions apparentes des avions). Par contre, quelques avions se distinguaient par leurs longues trainées qui étaient denses, s'élargissaient et persistaient pendant une bonne heure, leurs longueurs dépassant très largement tout mon champ d'observation.

La simple observation montre qu'il existe un rapport de plusieurs centaines entre les durées de rémanence des trainées de ces deux catégories (moins de 10 secondes pour les unes, plus d'une heure = 3600 secondes pour les autres). Les longueurs étant proportionnelles aux temps, cela signifie qu'il existe le même rapport entre les longueurs des trainées de ces deux catégories (1 km au plus contre 360 km au moins !). La grandeur considérable de ce rapport (plus de 300) doit nous interpeller : dans l'hypothèse où toutes ces trainées seraient créées par la condensation de vapeur d'eau, est-il possible qu'un tel rapport puisse être expliqué par des différences d'hygrométrie, liées à d'éventuelles différences d'altitude dans le même couloir aérien ?

Un raisonnement simple permet de répondre négativement à cette question.

1 – Des altitudes comparables

Alors que j'étais à environ 2000 mètres d'altitude et que les conditions de visibilité étaient excellentes, je pouvais distinguer à l'œil nu les avions, autant ceux qui laissaient des trainées courtes que ceux qui laissaient des trainées longues et ils avaient des dimensions apparentes comparables. Cela signifie qu'ils évoluaient à des altitudes comparables et que le niveau d'hygrométrie était donc comparable pour chacun d'eux (le temps était beau, l'atmosphère calme).

En conséquence, la différence entre les deux types de trainées ne peut pas être liée à des différences d'hygrométrie. D'autant plus que, si l'hygrométrie avait été beaucoup plus élevée d'une trajectoire à l'autre, cela aurait favorisé une condensation de la vapeur d'eau ambiante, alors qu'il n'y avait aucun nuage dans le ciel.

2 – Pas de continuité entre les deux catégories

De plus, en restant encore dans l'hypothèse où toutes ces trainées seraient créées par la condensation de vapeur d'eau, on ne peut pas comprendre qu'il y ait ainsi deux catégories de trainées aussi distinctes (par leurs durées et leurs longueurs), sans qu'il existe de continuité entre les deux. En effet, on n'observe jamais, par beau temps calme, de trainées qui soient dans un rapport de quelques dizaines par exemple, c'est-à-dire des trainées qui durent 5 minutes, par exemple, ou mesurent 50 kilomètres. Ce sont toujours soit des trainées très courtes et éphémères, soit des trainées très longues et persistantes. (Il en serait autrement si des vents forts dispersaient plus vite les chemtrails, mais ce n'était pas le cas, le jour de mon observation).

L'hygrométrie de l'air variant nécessairement de façon progressive et continue, cette absence de continuité entre ces deux types de trainées implique obligatoirement qu'elles ne sont pas de même nature. Les trainées persistantes ne sont pas créées simplement par de la vapeur d'eau condensée. Elles sont produites par d'autres produits que de l'eau et ce sont donc des trainées chimiques. La conclusion de ce raisonnement est logique et incontestable.

3 – Un phénomène qui n'a pas toujours existé

Rappelons que cette conclusion est confirmée par le fait que, avant les années 1990, il n'existait jamais dans le ciel de trainées semblables à ces longues trainées persistantes d'aujourd'hui.

Preuves photographiques
de la réalité des épandages aériens

1 – Des demi-tours
Exemple de demi-tours

Si toutes les trainées d'avion étaient des trainées de condensation, comment expliquer alors que parfois, des avions – soi-disant des avions de ligne – fassent demi-tour, comme le montre l'exemple de la photo ci-contre, qui est loin d'être rare ?

En réalité, ces trajectoires sont la preuve que ces avions ne sont pas des avions de ligne. Elles révèlent que ces avions passent et repassent avec insistance dans une même zone géographique. Pour quelle raison ? La seule explication rationnelle est qu'ils répandent méthodiquement des produits dans l'atmosphère, pour une raison encore inconnue.

2 – Des quadrillages
Exemple de quadrillages

D'autre part, comment expliquer que des avions – qui seraient soi-disant des avions de ligne – se permettent d'évoluer dans tous les sens et de former comme des quadrillages, à l'exemple de la photo ci-contre ? (encore une fois, cette situation peut être très souvent observée).

L'image suggère fortement une volonté de passer et repasser méthodiquement dans une même zone, comme pour répandre et mieux disperser des produits dans l'atmosphère, pour une raison encore inconnue.

Claire Séverac, dans un de ses livres, cite un témoin : « J'ai pu faire une déduction intéressante. J'habite en pleine campagne, très peu d'avions de ligne passent quotidiennement. Le 14 mars 2012, un ciel bleu immaculé a commencé à se charger avec les passages répétés de plusieurs avions. De grosses trainées blanches ont alors persisté dans le ciel, mais le plus frappant, c'était la fréquence et le nombre inhabituel d'avions qui passaient et repassaient pendant environ quatre à cinq heures, comme pour faire un quadrillage. Après cela, plus aucun passage, mais le ciel était devenu blanc et laiteux. A mon travail, j'ai vérifié la carte des servitudes aéronautiques de l'aviation civile et militaire du territoire concerné par ces passages. Une chose est sûre, ces avions venaient d'une zone réservée aux avions militaires, traversaient un couloir de l'aviation civile avant de bifurquer pour reprendre une zone d'aviation militaire » (1)

3 – Des interruptions

Et comment expliquer encore qu'une trainée – soi-disant trainée de condensation – puisse s'arrêter brutalement, puis reprendre temporairement quelques instants plus tard, ceci à deux reprises, avant de s'arrêter définitivement, comme sur la photo ci-dessous ? (Sur cette photo, prise par l'auteur, l'avion, parfaitement visible à l'œil nu, avançait de gauche à droite mais était sorti du champ de l'objectif au moment de la prise de vue). Cette interruption ne peut pas s'expliquer par un changement brutal et local d'hygrométrie. En effet, la première interruption s'étend seulement sur quelques centaines de mètres, la deuxième sur une distance de l'ordre du kilomètre. Il est strictement impossible que l'hygrométrie diminue brutalement puis revienne à sa valeur précédente sur des distances aussi réduites, et ceci à deux reprises.

Exemple d’interruptions momentanées puis définitive de la trainée
Photo: Daniel Harran

Ces interruptions ne peuvent pas s'expliquer non plus par une avarie de moteur de l'avion, car celui-ci a poursuivi sa route imperturbablement. On a là une nouvelle preuve, à nouveau indiscutable, que cette trainée n'est pas une simple trainée de condensation. La seule explication rationnelle est qu'elle a été produite par un épandage de produits chimiques. On peut imaginer que cette interruption est apparue quand le fût de produits répandus s'est trouvé presque vide, et qu'un surplus de pression ait permis d'envoyer les derniers résidus, à deux reprises.

La photographie suivante a été prise trois minutes plus tard. Elle montre l'élargissement de la trainée, avec des bords plus ou moins dentelés, cette transformation étant caractéristique des chemtrails (les trainées de condensation n'évoluent jamais ainsi). Cette trainée restera apparente pendant une vingtaine de minutes, avant de se dissiper sous la forme d'un voile de plus en plus léger.

Exemple de déformation d’une chemtrail
Photo: Daniel Harran

La même observation peut être faite sur la photo plus haut montrant des demi-tours effectués par un ou plusieurs avions. On voit que l'une des traces est interrompue, apparemment définitivement. La même explication peut alors être proposée.

4 – Des dépôts au sol
Exemple de dépot au sol

A l'analyse des images de ces trainées d'avions s'ajoutent les très nombreuses observations de dépôts au sol de substances tombées du ciel, au-dessous de ces trainées. Ces dépôts se forment apparemment quand les produits chimiques ont été répandus en trop grande concentration.

Ces dépôts ont même allure que des toiles d'araignées qui peuvent parfois se déplacer avec le vent et s'accrocher sur des supports quelconques. Mais des analyses chimiques ont révélé la présence dans ces dépôts d'une grande diversité de produits, des polymères organiques complexes avec une grande quantité de particules métalliques. Ces éléments chimiques prouvent que ces dépôts ne peuvent pas être des accumulations de toiles d'araignées, ils ne sont pas naturels.

Les chemtrails, la géo-ingénierie
et l'altération des émotions

La seule explication rationnelle à ces observations est que ces trainées persistantes sont créées par des épandages aériens. Des produits chimiques sont volontairement pulvérisés par ces avions (mais le plus souvent à l'insu des pilotes civils et toujours à l'insu des passagers), par un procédé qui provoque des trainées blanches, lesquelles font penser aux trainées de condensation, mais ne sont pas des simples trainées de condensation.

1 – Des agissements très suspects

Trois remarques essentielles peuvent être faites :

  • Ces épandages sont visiblement maquillés pour leur donner l'apparence d'un phénomène naturel (des trainées de condensation) ;
  • Dans tous les pays d'Europe au moins, ces épandages aériens sont illégaux mais néanmoins réels et très fréquents ;
  • Dans tous ces pays, leur réalité est officiellement niée malgré l'évidence.

Tout ceci est cohérent : ces trois éléments nous font comprendre que les véritables raisons de ces pratiques sont apparemment inavouables puisqu'elles sont gardées secrètes, et que ces agissements sont donc très suspects. Un vrai chercheur de vérité se doit alors d'aller chercher ce qui est ainsi caché.

L'explication que l'on peut recevoir parfois de certains dirigeants d'entreprises concernées est qu'un programme d'épandage aérien serait effectivement appliqué pour lutter contre le réchauffement climatique constaté par les « experts » du GIEC (Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat) et attribué aux activités humaines. L'épandage de produits dans l'atmosphère est ainsi présenté comme un moyen de faire écran au rayonnement solaire pour réduire le réchauffement planétaire attribué aux gaz à effet de serre. C'est le pouvoir réflecteur des particules métalliques présentes dans les trainées chimiques – l'aluminium en particulier - qui permettrait cet effet de géo-ingénierie.

2 – Des analyses chimiques

Mais les lanceurs d'alerte soupçonnent qu'il y ait d'autres mobiles derrière ces pratiques illégales, telles que l'augmentation de la conductivité de l'air pour faciliter les nouvelles technologies de communication (4G et 5G), mais aussi d'autres mobiles non avouables. On peut craindre par exemple que la diffusion dans l'atmosphère de millions de tonnes de produits chimiques, qui se renouvelle en permanence depuis une vingtaine d'années, puisse avoir des répercussions négatives sur la santé des êtres humains.

L'association ACSEIPICA (Association Citoyenne pour le Suivi, l'Etude et l'Information sur les Programmes d'Interventions Climatiques et Atmosphériques) a fait analyser des échantillons de filaments récoltés sous les chemtrails par le laboratoire AnAlytikA et a conclu : « les échantillons de filaments atmosphériques soumis à cette étude sont des polymères complexes contenant des nanoparticules d'oxyde d'aluminium, de sels de baryum, du strontium. Mais sont également présents avec des teneurs élevées, les métaux lourds tels que zinc, nickel, cuivre, chrome et plomb. Les échantillons contiennent aussi des composés aromatiques toxiques (des phtalates, qui sont des perturbateurs endocriniens reconnus) et trois des échantillons sur les quatre analysés contenaient du DEHP, autre perturbateur endocrinien reconnu. Toutes les molécules organiques ainsi mises en évidence dans la composition des filaments atmosphériques analysés sont préoccupantes, autant sur le plan de la santé publique que sur le plan de l'impact environnemental »  (2). Ce résultat d'analyse (par un laboratoire indépendant) est pour le moins très préoccupant..

3 – Le témoignage d'un biochimiste repenti

En avril 2012, un site américain a publié le témoignage, repris dans le livre de Claire Séverac (1), d'un biochimiste qui a travaillé pendant dix-sept ans dans un laboratoire de conception de produits d'épandage aérien. Celui-ci a d'abord révélé que certaines compagnies aériennes de fret et des compagnies à bas prix acceptent régulièrement de grosses sommes d'argent pour charger et disperser ces produits aérosols qui créent les chemtrails. .

Il a déclaré également que beaucoup de produits sur lesquels il a travaillé sont des agents calmants. « 90 % des produits que nous avons développés visaient à altérer les émotions, l'humeur, ou à provoquer un certain état d'esprit ». Par contre, il a déclaré aussi que, selon les directives qu'il recevait, les produits développés devaient avoir une toxicité minimale. Il n'a, pour sa part, jamais travaillé sur un projet où le résultat escompté était toxique ou mortel.

De plus, il a déclaré : « les raisons de la pulvérisation de ces produits n'ont jamais été exprimées car il y a beaucoup de secret autour de ce programme, mais neuf fois sur dix, c'était assez évident car quand ils nous demandaient de développer des produits chimiques, ils devaient aussi nous dire ce qu'ils voulaient en faire. » Quelques-unes de ces raisons sont « la modification du climat, ainsi que la diffusion de suppresseurs d'émotions et d'expectorants d'émotions, et la modification de l'environnement. Il y avait aussi quelques projets sur lesquels nous avons travaillé qui étaient destinés à créer des symptômes, sans causer aucun dommage réel pour les sujets. ».

Agents calmants, suppresseurs ou expectorants d'émotions : ces raisons des épandages révélées par ce biochimiste appartiennent à un registre très différent de celui de la géo-ingénierie, et rejoignent le registre des perturbateurs endocriniens dans les produits épandus, dont la présence est avérée.

4 – Effets biologiques de l'aluminium
et des autres substances métalliques

D'après les diverses analyses effectuées, l'aluminium est presque toujours cité dans les composants des filaments recueillis au sol sous les chemtrails. Claire Séverac cite le Dr. Tammy L. Born qui rappelle que l'aluminium est connu pour avoir des effets cancérigènes. L'aspect le plus inquiétant de ces nanoparticules d'aluminium, affirme le Dr. Born, est leur effet sur le cerveau et sur la moelle épinière. On attribue une liste grandissante de maladies neurodégénératives, dont la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson et la sclérose latérale amyotrophique à l'exposition à l'aluminium présent dans l'environnement. L'aluminium est également présent dans la très grande majorité des vaccins actuels.

Deux questions fondamentales se posent

Les deux questions fondamentales qui se posent sont : qui sont les véritables instigateurs de ces pulvérisations ? Et quel en est le véritable but ?

Les vrais responsables des chemtrails

Pour tenter de répondre d'abord à la première question, il faut remarquer que tous les pays occidentaux sont concernés par ces pratiques. Un tel consensus signifie qu'elles sont apparemment commanditées par une autorité internationale qui se situe au-dessus des états et englobe autant l'Amérique du Nord que l'Europe. Cela signifie aussi que tous les états où ces épandages sont pratiqués sont complices, ou sont soumis de force à cette autorité. Le fait que, dans aucun de ces pays, l'existence des chemtrails ne soit reconnue officiellement, malgré l'évidence et malgré les questions pressantes de quelques élus et des associations concernées, montre que tous les gouvernements sont prisonniers de cette autorité qui les dépasse.

Quelle est cette autorité qui dépasse les gouvernements ? Un premier élément de réponse peut être proposé ici, d'autres éléments de réponses sont possibles, mais demandent de s'appuyer sur des bases trop longues à rappeler ici. Ils seront exposés dans le livre à venir (septembre 2020).

Une piste de recherche

Une piste de réflexion peut être développée, en constatant une certaine analogie entre le phénomène ovni dans son ensemble et le phénomène des chemtrails.

  • La réalité des ovnis est niée par tous les gouvernements, malgré le fait que des millions d'observations authentiques ont été faites depuis des décennies ou même des siècles. (Les quelques signes timides de reconnaissance de leur réalité qu'a donné la NASA récemment ne modifient en rien la situation). De même, la réalité des chemtrails est niée par tous les gouvernements, malgré l'évidence de leur existence (depuis quelques décennies). Ces attitudes apparemment irrationnelles et incompréhensibles révèlent que « quelque chose doit rester caché » aux yeux du public, quelque chose de vital pour les intelligences qui sont derrière ces deux phénomènes. Elles montrent que les gouvernements sont muselés, réduits au silence.
  • En conséquence, rien de sérieux n'est fait – officiellement - pour étudier la réalité des ovnis, dans aucun pays, malgré les demandes incessantes du public et d'un certain nombre de personnalités, y compris des officiers haut-gradés (rapport COMETA). De même, aucune étude officielle n'existe dans aucun pays pour étudier la nature des chemtrails puisque, selon les autorités politiques, ceux-ci « n'existent pas ».
  • D'autre part, un article publié ces dernières années par le chercheur Fabrice Bonvin (3) a clairement montré une connexion entre les chemtrails et les ovnis. En effet, de très nombreux observateurs ont signalé des « sphères de lumière » ou « boules de lumière » évoluant à proximité des trainées d'avion, comme attirées par elles, avec des mouvements qui défient les lois de la physique. Cette description désigne explicitement des ovnis. D'après Fabrice Bonvin, la présence d'ovnis aux alentours des trainées d'avion confirmerait « qu'il ne s'agit pas de simples trainées de condensation, mais de quelque chose de bien plus sinistre. » Il ajoute d'ailleurs que, l'étude du phénomène ovni ayant montré qu'il entretient une relation étroite avec nos préoccupations environnementales, « il est fort probable que ces trainées dans le ciel soient nocives pour l'environnement et pour la santé des êtres vivants. ».
Le vrai but des chemtrails

Le phénomène des chemtrails s'intensifie depuis une vingtaine d'années et crée une pollution atmosphérique généralisée. (Le répit dont nous avons bénéficié en 2020 pendant la période de confinement où toutes les activités économiques ont été quasiment gelées ne pourra être que temporaire). Ce qui parait le plus frappant à ce propos est que la majorité de la population n'en a même pas conscience. Les gouvernements ont beau jeu alors de continuer à nier l'évidence de ces pollutions massives, d'autant plus qu'ils sont soutenus par la plupart des media et certaines organisations non gouvernementales censées défendre l'environnement, qui nient la réalité des chemtrails.

Le biochimiste dont le témoignage a été rapporté ci-dessus disait que les produits développés étaient des agents calmants, et visaient à altérer les émotions ou à provoquer un certain état d'esprit. On peut se demander si, en effet, le désintérêt, la passivité, en tout cas le manque d'énergie pour réagir, que l'on peut observer dans la majorité de la population alors que l'inhalation des produits disséminés peut faire craindre des effets négatifs sur la santé, ne seraient pas justement l'effet recherché. Pour les personnes conscientes de la gravité du problème, il parait incroyable que, dans tous les pays, la majorité de la population soit inconsciente ou résignée. Cette résignation, alors que nous sommes tous empoisonnés à petite dose mais de façon quasiment continuelle, pourrait s'expliquer ainsi.

Quel serait alors le vrai but de ces chemtrails ? On peut craindre que ce soit d'une part « d'endormir » la population, d'empêcher des réactions de rébellion. On sait que les métaux lourds présents dans les produits aérosols, quand ils sont assimilés par le corps physique, sont des poisons qui agissent sur le cerveau. L'aluminium est cancérigène, cause de plusieurs maladies neurodégénératives. C'est bien la santé des êtres humains qui est visée et attaquée sournoisement.

RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES (pour cette page) :

1 :  Claire SÉVERAC – La guerre secrète contre les peuples (Ed. Kontre Kulture).

2 :  Site du laboratoire indépendant AnAlytikA : https://www.analytika.fr/investigations/filaments-aeroportes.

3 :  Fabrice BONVIN – Chemtrails et OVNIs – La connexion environnementale (Top Secret).

© 2010-2024 - Écoute la Terre