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CROP CIRCLES

Les agroglyphes authentiques
sont l'œuvre d'êtres intelligents

Même si il y a quelques années, l'hypothèse d'une cause naturelle avait été avancée pour tenter d'expliquer la formation des agroglyphes, il est devenu évident maintenant qu'une véritable intelligence est présente derrière ces formations. Pourquoi ?

La variété des méthodes de couchage des tiges

Nous l'avons vu plus haut, si les méthodes variées et élaborées ne sont pas compatibles avec une cause humaine, elles sont encore moins compatibles avec une cause naturelle. Elles sont vraiment la marque d'intelligences actives, d'êtres intelligents. Il est important de remarquer aussi l'idée globale d'évolution qui apparaît dans les méthodes mises en œuvre, en Angleterre en particulier. Les agroglyphes sont vraiment de plus en plus élaborés d'année en année, même si certaines formations sont encore géométriquement simples (il arrive que l'on trouve encore un cercle isolé ou un ensemble de cercles).

Les auteurs prennent soin d'éviter les observateurs
et les caméras

Tous les étés depuis de nombreuses années, des équipes de chercheurs passionnés par l'étude du phénomène des agroglyphes se retrouvent dans le Wiltshire et se postent en haut des collines dans des endroits stratégiques où la probabilité d'apparition d'une formation est très grande. Ils veillent toute la nuit, armés d'appareils de photos, de caméras à infrarouges, de projecteurs, etc. dans l'intention d'observer un agroglyphe en cours de formation et d'enregistrer la séquence de réalisation. Mais ces opérations pourtant répétées un grand nombre de fois tous les ans se soldent toujours par un échec ! Durant l'été 2008 encore j'étais moi-même présent près de Milk Hill quand plusieurs équipes se sont réparties et installées sur la colline par une nuit claire où la lune brillait. Au lever du jour, personne n'avait rien vu ni rien enregistré... mais une nouvelle formation était pourtant là, réalisée à l'insu de toutes les personnes présentes. Et ceci est tout à fait typique de ce qui se passe chaque fois tous les ans !

Personne n'a donc réussi jusqu'à présent à fixer dans sa caméra les images d'un agroglyphe en train de se former, et ce malgré les très nombreuses tentatives (à une exception près cependant, à Oliver's Castle en 1996, mais du fait que cette exception est unique, elle a été controversée).

Les conclusions qui s'imposent sont :

  • d'une part, que ces réalisations ne peuvent pas être attribuées à des hommes (ils auraient été repérés au moins par leur rayonnement infrarouge) ;
  • d'autre part, que les auteurs sont des êtres qui nous sont invisibles. Invisibles à la lumière, mais aussi invisibles au rayonnement infrarouge ;
  • enfin, que ces auteurs s'appliquent toujours à réaliser leurs œuvres sans que les hommes présents pour surveiller puissent les voir, et puissent enregistrer des images d'une création d'agroglyphe. Alors que les équipes de veilleurs s'efforcent par tous les moyens de surprendre les auteurs sur le fait, il apparaît évident que ces auteurs font en sorte de ne jamais être surpris. Mieux, il arrive très souvent en été, comme dans l'exemple précédent, que ce sont les auteurs qui surprennent les hommes quand ceux-ci découvrent aux premières lueurs du jour qu'un nouvel agroglyphe a été créé pendant la nuit, bien qu'ils aient surveillé activement. C'est en fait comme s'ils se moquaient des hommes, comme s'ils les narguaient, ou qu'ils voulaient montrer leur différence !

On peut remarquer aussi que les témoins qui ont eu la chance de voir un agroglyphe en train de se former devant eux étaient toujours surpris par cette réalisation, et n'étaient pas dans une situation d'attente.

Les auteurs montrent des connaissances mathématiques avancées ...

Représentation du nombre Pi - Barbury Castle - Juin 2008
Photo © Lucy Pringle
  • Le haut degré de complexité des réalisations actuelles montre à l'évidence que les auteurs possèdent des connaissances géométriques, c'est-à-dire mathématiques, très avancées. Déjà dans les années 1990 ont été reconnues des réalisations d'agroglyphes qui étaient des illustrations de la théorie des fractales de Mandelbrot.
Décomposition de la représentation du nombre Pi - Barbury Castle - Juin 2008
  • Un autre exemple frappant est la formation apparue à Barbury Castle à la fin du mois de mai 2008 (photo 1). Ce dessin, qui fait apparaître une suite d'arcs de cercles de rayons de courbure croissants, séparés par des décrochements, semble à première vue énigmatique. Mais si l'on extrapole tous ces décrochements jusqu'au cercle extérieur, on obtient ainsi autant de rayons de ce cercle, et après avoir complété par les rayons manquants, le cercle est alors partagé en dix secteurs égaux (photo 2). On s'aperçoit alors que le premier arc de cercle s'étend sur trois secteurs, puis un point a été dessiné, le deuxième arc occupe un secteur, le troisième couvre quatre secteurs, le quatrième un, le cinquième cinq, etc. On se rend compte que cette suite de chiffres représente exactement le nombre Pi qui vaut 3,14159... ceci avec dix chiffres significatifs, qui sont tous exacts bien sûr ! La suite de ces dix arcs de cercles (de ces dix chiffres) se poursuit par trois points, qui représentent des points de suspension puisqu'on sait que la suite des chiffres du nombre Pi est sans limite (nombre irrationnel).

On peut remarquer que ce nombre Pi a été exprimé dans la base 10 (le cercle a été partagé en 10 secteurs). On pourrait concevoir que ce nombre aurait pu être exprimé dans une autre base, la base deux par exemple qui est celle utilisée en informatique et dans les transmissions électroniques, et qui est une base universelle. Mais la base 10 est la base utilisée par les hommes, et ce message était bien sûr destiné à être lu par les hommes.

Exemple d'effet de 3ème dimension - Uffington - Juillet 2006
Photo © Lucy Pringle
  • Autre exemple : dans une formation de 2006, l'effet de troisième dimension ou l'effet de perspective est frappant quand on observe d'avion les « tours » représentées dans un champ qui est bien sûr parfaitement plat (photo 3). On comprend que la restitution de cet effet demande des connaissances mathématiques très poussées.
  • Dès les années 1990, quand les motifs représentés étaient encore simples, souvent des ensembles de cercles ou d'anneaux, des études faites en mesurant les rapports des différents diamètres avait révélé que ces rapports de distances étaient égaux aux rapports de fréquences des notes de la gamme diatonique (12) (la gamme musicale) ! Ce résultat étonnant et fascinant est évidemment une nouvelle marque de l'authenticité des agroglyphes en question.

... et des connaissances physiques ...

Agroglyphe associé à la théorie physique des "trous de vers" - Savernake Forest - Juillet 2006
Photo © Lucy Pringle
  • En 2006, plusieurs agroglyphes sont apparus, réalisés selon le même thème, avec deux « puits » juxtaposés représentés avec un effet saisissant de 3ème dimension (photo 4). Ce motif a été reconnu comme étant une bonne illustration de la théorie des trous de vers, récemment développée en physique avancée, et élaborée à partir de la loi de la relativité d'Einstein. Cette théorie s'intéresse au passage entre univers parallèles par un tunnel, ou trou de ver, reliant un trou noir à un trou blanc.
  • Plusieurs réalisations dans les champs sont des représentations fidèles du système solaire tel qu'on le connaît, avec ses neuf planètes principales (auxquelles est même ajoutée parfois la ceinture d'astéroïdes) (photos 5 et 6). Ces réalisations révèlent à l'évidence une bonne connaissance du système solaire.
  • On peut remarquer que, depuis quelques années, et après que les astronomes aient découvert au-delà de l'orbite de Pluton d'autres astres de petites dimensions (comme Pluton), ils ont procédé à une nouvelle classification des objets en révolution autour du soleil selon laquelle le nombre de « vraies planètes » est limité à huit, Pluton et les autres astres plus lointains étant classés comme « planètes naines ». Mais les agroglyphes continuent à décrire un système à neuf planètes, la dernière étant d'ailleurs excentrée (comme l'est Pluton), car ils sont destinés à être vus par nous tous les êtres humains, et nous avons en effet conservé l'habitude de représenter le système solaire par un ensemble de neuf planètes gravitant autour du soleil.
Représentation du système solaire - Avebury Manor - Juillet 2008
Photo © Gary King
Représentation d'une partie du système solaire - Longwood Warren, près de Winchester - Juin 1995
Photo © Lucy Pringle

... et des connaissances historiques

Agroglyphe associé à 4 tumulus - North Down - Juillet 2003
Photo © Lucy Pringle

Au premier coup d'œil porté sur cette photographie (photo 7), on découvre cinq agroglyphes circulaires alignés. En réalité, un examen plus attentif montre qu'un seul agroglyphe a été réalisé au premier plan, dans le prolongement de quatre tumulus alignés, chacun de ces quatre tumulus ayant été souligné par le passage du tracteur qui a tracé deux cercles concentriques. Remarque amusante, il semble que le motif de cet agroglyphe ait été justement choisi pour donner l'illusion de ressembler aux autres tumulus. Mais la surprise a été quand un chercheur curieux a retrouvé dans les archives du village la preuve qu'il y a bien longtemps, un cinquième tumulus existait dans le prolongement des quatre autres, situé exactement là où l'agroglyphe a été réalisé !

Ce qui veut dire que cet agroglyphe a été réalisé en fait pour reproduire ce cinquième tumulus, vestige de l'histoire ancienne qui avait été détruit par l'homme, ce que même les habitants locaux avaient oublié ! Mais les auteurs de l'agroglyphe, eux, le savaient, preuve qu'ils connaissent même notre histoire.

Conclusions

Les caractéristiques de ces agroglyphes, et les conditions dans lesquelles ils apparaissent, imposent à l'observateur impartial la conclusion qu'ils sont les œuvres d'intelligences extérieures à notre humanité, mais qui sont présentes parmi nous, même si elles ne nous sont pas visibles. Les auteurs sont donc des êtres intelligents et immatériels, présents parmi nous.

Alors que l'homme se croît l'être le plus intelligent et le maître sur sa planète, alors qu'il cherche à établir un contact avec d'autres êtres vivants ailleurs dans l'univers, l'existence des agroglyphes montre que des êtres intelligents sont là sur Terre, mais l'homme ne le sait pas. Ainsi, des êtres intelligents extérieurs à notre humanité interpellent l'homme tous les ans, dans un grand nombre de pays tout autour du monde. Ils se manifestent par des œuvres spectaculaires et concrètes que tout le monde peut observer, mais la plupart des hommes continuent pourtant d'ignorer le phénomène et négligent de le considérer parce qu'ils ne le comprennent pas !

RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES (pour cette page) :

12 :  Colin ANDREWS et Stephen SPIGNESI - Crop Circles, signes et contacts : nouvelles révélations (Ed. Exclusif), p 122.

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